lundi 27 juin 2011

We Were Evergreen - Vintage Car

Découvrez le dernier clip du groupe We Were Evergreen, réalisé par Dominique Rocher
(collectif Buffalo Corp.)

samedi 18 juin 2011

LIMITLESS


Un début qui ressemble à la scène d'introduction de 99F de Jan Kounen, mais rien de bien dérangeant.
De plus, il s'agit aussi d'un bouquin à l'origine (écrit par Alan Glynn), notons-le, il va y avoir de la voix-off.

Tu retrouves ton pote Bradley Cooper qui, (comme Ryan Reynolds) n'arrête pas de montrer sa bonne gueule. Et dire que tout le monde se foutait de lui dans la série Alias... Bref !
Quelques jours après avoir vu Very Bad Trip 2, tu peux juger sa performance. Elle est très bonne, les personnages sont bien différents, pas de confusion.

Pour l'histoire, c'est assez simple:
"Eddie Morra rêve d’écrire, mais l’angoisse de la page blanche le paralyse. Sa vie sans éclat bascule lorsqu’un ami lui fait découvrir le NZT, un produit pharmaceutique révolutionnaire qui lui permet d’exploiter son potentiel au maximum. Eddie peut désormais se souvenir de tout ce qu’il a lu, vu ou entendu ; il peut apprendre n’importe quelle langue en une journée, résoudre des équations complexes et subjuguer tous ceux qu’il rencontre – tant qu’il reste sous l’influence de cette substance qui n’a pas encore été testée.
Très vite, Eddie fait aussi merveille à Wall Street, où ses prouesses attirent l’attention de Carl Van Loon, un puissant magnat de la finance, qui lui propose de négocier la plus grosse fusion de l’histoire. Eddie ignore encore que des gens sont désormais prêts à tout pour mettre la main sur son stock de NZT. Alors qu’il découvre le danger, il doit aussi affronter les terribles effets secondaires du produit. Pour survivre à ceux qui le pourchassent de toutes parts, Eddie puise de plus en plus dans ses réserves. En aura-t-il suffisamment pour se montrer plus intelligent que tous ses ennemis ?"

Tu redécouvres le synopsis, ça semble "ridiculous". Tu ris. Mais le trailer est bien plus intéressant, tout comme le film.
Ce film joue sur deux tableaux assez distincts. Ambiance très froide lorsqu'Eddie n'a pas consommé de NZT et ambiance très chaude lorsqu'il exploite son potentiel grâce à cette petite pilule mignonne. Esthétique facile, mais légitime et efficace.

Le rythme est irréprochable, la musique donne le ton et on ne s'ennuie pas. Les images sont belles et profondes. Le montage est dynamique, les acteurs sont charismatiques... c'est un peu le film à voir et sans doute à revoir (mais pas tout de suite).

Tout fonctionne à merveille, c'est drôle et "ambiançant". Mais la grande question est: comment interpréter ce film, comment le lire?
Tu aimes cette fiction qui te permet de t'évader et te dire qu'une simple pilule te permet d'avoir un certain pouvoir. Mais il s'agit tout de même de dépendance, ne cachons rien, c'est une drogue.

Tu aimes l'audace et ce parti pris, mais est-ce un message/une morale intelligent(e) ?

Leslie Dixon et Neil Burger ont assuré, et c'est toujours très impressionnant de voir Bradley Cooper gérer son français en interview.

jeudi 16 juin 2011

Samsung Mobilers - L'actu mobile Samsung à lire et à écrire !

Devenez mobilers !
Vous avez le sens du bon mot, êtes un mordu d’actu sur le mobile, aimez partager vos découvertes et ne pouvez vivre sans votre Smartphone dans la poche ?
Alors, vous avez sans aucun doute la panoplie parfaite du Mobilers !
Envoyez vos mots doux et soumettez un article qui vous tient à cœur et… peut-être que vous vous retrouverez en haut de la Une demain !

Le Site:  Samsung Mob!lers

mardi 14 juin 2011

Samsung Galaxy S II - Unleash your Fingers

Voici une petite vidéo avec JayFunk qui propose une petite chorégraphie de Finger Tutting pour Samsung.
Enjoy !


samedi 4 juin 2011

X-Men: First Class


De quoi ça cause:
"Avant que les mutants n’aient révélé leur existence au monde, et avant que Charles Xavier et Erik Lehnsherr ne deviennent le Professeur X et Magneto, ils n’étaient encore que deux jeunes hommes découvrant leurs pouvoirs pour la première fois. Avant de devenir les pires ennemis, ils étaient encore amis, et travaillaient avec d’autres mutants pour empêcher la destruction du monde, l’Armageddon. Au cours de cette opération, le conflit naissant entre les deux hommes s’accentua, et la guerre éternelle entre la Confrérie de Magneto et les X-Men du Professeur X éclata…"

Tu ne vas pas faire une thèse, tu ne vas pas t'étaler sur le sujet... ce n'était pas horrible, mais ce n'était pas génial.
Petite déception: les acteurs qui t'ont déjà agréablement surpris dans d'autres productions, étaient fades et presque mauvais dans ce film.
Déjà que X-Men Origins: Wolverine n'était pas top, tu t'attendais à mieux et surtout de la part du papa de Kick-Ass.

Tu n'es pas un grand connaisseur des albums X-Men. Mais tu as aimé le premier volet au cinéma, adoré le second et bien apprécié le troisième.
Ce que tu constates, c'est un problème de cohérence et la présence du festival de l'anachronisme dans ce cinquième film.

Le film (la bande dessinée) est tout de même riche en messages, en critiques politiques, en morales... Rien de subtil, tout est clair: refaire le monde, accepter les différences, dénoncer les travers de la société... Tout le monde connaît, donc aucune surprise/critique.
Au-delà des thèmes principaux du film, ce qui a pu te choquer (et qui est à la fois ridicule vis-à-vis du travail que nécessite un tel blockbuster) est l'âge de Raven. Quand on se souvient de Rebecca Romijn ex Stamos dans les premiers épisodes, elle ne semblait pas si vieille.
Tu t'expliques: Charles Xavier la découvre chez lui, ils ont presque le même âge. Et à en croire le scénario, il a 12 ans et elle 10. Dans le premier X-Men, Charles à 247 ans (joke) et elle en a... 30? Tu as envie de dire "WTF".
Peut-être que "Mystique" ne vieillit pas comme tout le monde et il faut connaître les X-Men pour éviter ce genre de reflexion. Tu t'excuses si tu as des lacunes sur le sujet.



Dans X3, on se souvient de Charles et Erik (rajeunis à merveille) qui se rendent chez Jean Grey. Ce passage se situe à quel niveau dans ce dernier film?
Car on quitte la salle, les deux "frères" ne veulent plus se prendre dans les bras. Ils sont déjà en guerre et on connait la raison pour laquelle Professor X est en fauteuil roulant.
De plus, tu soulignes qu'il n'est pas encore chauve dans ce dernier opus.

Passons, tu trouves que James McAvoy fait niais, petit enfant épais.
Michael Fassbender ne sonne pas bien dans tes oreilles lorsqu'il parle français. Mais il gère assez bien les langues dans ce film.
Leur amitié/fraternité ne te semble pas du tout crédible.
Kevin Bacon joue de la même manière dans Hollow Man, et il danse quand il marche. Mais il gère assez bien les langues dans ce film.
Tu as aimé découvrir le passé des personnages, connus dans X-MEN de Bryan 'Bogdanov' Singer.
Il y a de l'humour, c'est assez drôle parfois.

Les effets spéciaux sont mignons, le film est long et tu as senti les 2h10 passer.
Tu ne sais pas s'il s'agit d'un problème de salle mal équipée, mais il y avait un grain à l'image sur les plans incrustés numériquement, une espèce de pluie étrange qui se voit beaucoup sur les blancs... comme une fréquence très rapide.

Bref, tu ne fais qu'ajouter des points inutiles qui ne servent pas du tout l'article.

Ce fut un petit plaisir!

mercredi 1 juin 2011

La Défense Lincoln


"Michael Haller est avocat à Los Angeles. Habile, il est prêt à tout pour faire gagner les criminels de bas étage qu’il défend. Toujours entre deux tribunaux, il travaille à l’arrière de sa voiture, une Lincoln Continental. Ayant passé la plus grande partie de sa carrière à défendre des petits voyous minables, il décroche pourtant ce qu’il pense être l’affaire de sa vie : il est engagé pour défendre un riche play-boy de Beverly Hills accusé de tentative de meurtre. Mais ce qui semblait être une affaire facile et très rentable se transforme en redoutable duel entre deux maîtres de la manipulation…"

Milieu d'année, des résolutions s'imposent. Il faut intéresser son audience, ses lecteurs et faire court lorsque tu écris un article. Ce n'est pas comme le sexe. Ici, plus c'est court mieux c'est !

Allez! Le décor est posé, il s'agit de Matthew McConaughey. Tu te dis que cet acteur a bien changé depuis EDTV et il est inévitable que monsieur nous montre son torse photoshopé.
Mais non, tu mens sur le bonhomme. C'est étrange, il ne montre pas son corps dans ce film (juste le minimum pour montrer qu'il n'a pas pris trop de gras). Il prouve enfin qu'il est un acteur et qu'on ne le choisit pas que pour sa plastique. Oui, Matthew est bon ! Phrase louche, tu l'admets mais soyons objectif et franc. (Il était tout de même excellent dans Frailty de Bill Paxton)


Dès les premiers plans du film, Matthew McTropMusclé semble "friendly" et utilise un accent qui lui va bien.
Les techniques semblent classiques et bim ! Le réalisateur ose foutre un premier zoom violent qui sort de nulle part et qui peut choquer.
Ok, il possède la salle, tu grimaces un peu mais il te met dans sa poche: le film va bouger sévère.

Et c'est ce qui fait la force de cette oeuvre. L'histoire, basée sur un bouquin de Michael Connelly te captive et ne t'ennuie pas. Pourtant, il n'y a pas de quoi récompenser un tel scénario.
Tout semble crédible et tu aimes cette situation: celle où l'avocat qui défend un criminel, trouve l'envie de le dénoncer tout en le défendant. Ok, c'est tordu. Mais les lois, les principes, etc. rendent cette tâche bien difficile. Et les astuces que le personnage -campé par McConaughey- utilise, impressionnent et donnent le sourire.

Déjà dit plus haut, mais tu insistes sur l'importance du zoom, des mouvements de caméra et de cette esthétique qui donnent un rythme et une couleur à ce film qui semble être un épisode de série.
Inutile de se voiler la face, cette production pourrait être un épisode de série policière. Mais Brad Furman n'est pas un réalisateur de m****. Il sait qu'avec une telle histoire, il faut tout dynamiser et il réussit à te faire passer un bon moment, avec ce choix de musiques et ce montage bien géré. Les couleurs sont chaudes, les musiques ambiancent la salle, les acteurs échangent avec talent.

Juste déçu par le mixage tu as été.

"Astonishment": Ryan Phillippe ne vieillit pas. Presque 40 ans, il garde sa tête de "Prom King", ou de premier de la classe de 20 ans. Il peut être un vrai connard, mais avec cette gueule et cette performance, tout passe.

Le casting est au top, l'histoire passe très bien, les techniques sont bonnes... Ok! C'est un très bon film à voir.

GALAXY S II - Official Live Demo - Media